Droit d'entrée
A ma grande joie, je suis de retour dans le monde du travail.
Là où j'officie pour le moment, l'entrée aux bâtiments nécessite presque un relevé d'empreintes, d'ADN et un casier judiciaire. Sachant cela j'y vais assez en avance, trop sans doute pour des fonctionnaires (en tout cas ceux du secrétariat). Je demande si mon badge d'entrée est prêt: "ben la responsable est en congés, son remplaçant n'arrive pas avant 10:00 alors va falloir patienter". Je patiente, puis finalement m'impatiente.. j'appelle directement le service où je dois aller: on m'envoie de l'aide.
A son arrivée, le remplaçant du service badge est arrivé, vautrée quasi sous son bureau et raconte son WE à un de ses collègues. Bref, il nous fait poireauter. Mon Aidàmoi s'impatiente à son tour et coupe court à sa conversation: "est-il possible de faire le badge de ce jeune homme?"
"heu.. non.. madame Holiday est en vacances, elle vous fera le badge demain.."
"DEMAIN? et on fait comment? et d'ailleurs, quand elle prendra ses congés d'été on ferme tous les services? on doit se caler sur ses dates? Y'en a qui travaille ici"
Jabba le Hunt ne bronche pas face à l'estoquade et répond en haussant les épaules.
Spectatrice de la passation de joute, une jeune fonctionnaire (zellée) prend mon formulaire et réapparait quelques minutes plus tard avec un badge tout neuf.. il était donc possible de les émettre en l'absence de LA responsable. Je lui souris, elle est charmante et a un très joli accent de l'est (page 114 du catalogue: La Russe pas chère). Jabba regarde alors furieusement ma collègue et re-haussage d'épaule en guise de défense.
Je me dit que ça commence en fanfare!
en attendant mes diverses assignations je jette un oeil sur le net et tombe sur le blog de Charlie et Céline tous deux partis en Australie. A la vision de la plage à deux pas de chez eux, je me demande si il exite aussi des Jabbas le Hunt là-bas? et je me rapelle que même s'ils en ont: il me semble que la misère parait moins pénible au soleil... comme dirait l'autre.
Là où j'officie pour le moment, l'entrée aux bâtiments nécessite presque un relevé d'empreintes, d'ADN et un casier judiciaire. Sachant cela j'y vais assez en avance, trop sans doute pour des fonctionnaires (en tout cas ceux du secrétariat). Je demande si mon badge d'entrée est prêt: "ben la responsable est en congés, son remplaçant n'arrive pas avant 10:00 alors va falloir patienter". Je patiente, puis finalement m'impatiente.. j'appelle directement le service où je dois aller: on m'envoie de l'aide.
A son arrivée, le remplaçant du service badge est arrivé, vautrée quasi sous son bureau et raconte son WE à un de ses collègues. Bref, il nous fait poireauter. Mon Aidàmoi s'impatiente à son tour et coupe court à sa conversation: "est-il possible de faire le badge de ce jeune homme?"
"heu.. non.. madame Holiday est en vacances, elle vous fera le badge demain.."
"DEMAIN? et on fait comment? et d'ailleurs, quand elle prendra ses congés d'été on ferme tous les services? on doit se caler sur ses dates? Y'en a qui travaille ici"
Jabba le Hunt ne bronche pas face à l'estoquade et répond en haussant les épaules.
Spectatrice de la passation de joute, une jeune fonctionnaire (zellée) prend mon formulaire et réapparait quelques minutes plus tard avec un badge tout neuf.. il était donc possible de les émettre en l'absence de LA responsable. Je lui souris, elle est charmante et a un très joli accent de l'est (page 114 du catalogue: La Russe pas chère). Jabba regarde alors furieusement ma collègue et re-haussage d'épaule en guise de défense.
Je me dit que ça commence en fanfare!
en attendant mes diverses assignations je jette un oeil sur le net et tombe sur le blog de Charlie et Céline tous deux partis en Australie. A la vision de la plage à deux pas de chez eux, je me demande si il exite aussi des Jabbas le Hunt là-bas? et je me rapelle que même s'ils en ont: il me semble que la misère parait moins pénible au soleil... comme dirait l'autre.