lundi, juillet 23, 2007

Everytime you close your eyes...


Retour d'un WE en terres nîmoises. Nîmes: ses arènes, sa maison carrée, ses arènes, sa tour Magne, ses arènes. Bref, visites des arènes de Nîmes.



Le dimanche, après un petit-dèj bien mérité, flânerie dans les rues typiques du sud rythmée par le doux kzikzikzi des cigalous. Un petit avant-goût des vacances.

Et le soir... après une file compacte,



LE CONCERT DE LA MORT!!! A l'affiche, tout d'abord: Albert Hammond Jr, qui a bien débuté la session.

Ensuite, les Arctic Monkeys. 200.000 Watts qui ont secoué les vieilles pierres des arènes qui n'avaient pas vu telle fureur depuis les combats de gladiateurs: grosses énergie! Un brin bourrin pour moi (et mes tympans) mais je n'ai plus l'âge pour ça sans doute.

Et puis, les formidables Arcade Fire qui, après des débuts cafouillards, ont su emflammer les 8000 spectateurs. Ce final sur Wake Up! HO MY GOD!!!!



En gros ça donnait ça sur Rebellion (Lies):



J'ai même (déjà) trouvé un extrait du concert filmé par quelqu'un dans l'assistance. Dommage on se rend pas compte de la folie:



et pour faire plaisir à Tibo et 20.100 un extrait du passage des Arctic dans les arènes (désolé sans la fan qui fait du slam "torse nue"):



Me want moooore!

ps: la video de Rebellion (Lies) vient de ça. Intéressant.

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vendredi, juillet 20, 2007

HBO du jour



Le site du jour est un site de la chaîne câblée américaine HBO. C'est l'équivalent de Canal + outre-Atlantique, et d'ailleurs les différents dirigeants de C+ ne s'en cachent pas: c'est leur référence. Si aujourd'hui on a des séries d'une qualitée sans équivalent c'est en grande partie grâce à elle. Les Sopranos, Sex and the City, Deadwood, Carnivale ou encore Six Feet Under: que des séries sans tabou signées HBO. N'ayant pas de problème d'audience (enfin pas du même niveau qu'une chaîne classique) et étant cryptée: on fait dans la qualité, celle qui rend les gens prêt à s'abonner.

Malheureusement, ayant fait école, le niveau des séries sur les autres chaînes n'a plus rien parfois à envier à HBO. De plus, elle a un peu de mal à trouver une nouvelle série qui marque. Alors? Faisons un truc dingue! Un truc comme HBOVoyeur. Rien de sessuel là dedans. C'est un site qui, comme son nom l'indique, vous propose de voir ce qui se passe derrière les murs. Page d'accueil, on se saisit d'une paire de jumelles et hop on se retrouve dans une grande ville, de nuit. Certaines fenêtres clignotent: on clique dessus et on voit ce qui se passe derrière. C'est un peu déroutant au début. Pas de dialogue, des gens qui vivent dans leur appart... puis jours après jours, de nouvelles vidéos, de nouvelles aventures. C'est extrêmement bien foutu. On voit vite que chacun des cas suivis sont, à juste titre, des cas. On retrouve même certains personnages dans d'autres immeubles qui interragissent.
HBO vient d'inventer un nouveau genre de série.

A suivre!

(lire l'article d'Ecrans là dessus)

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lundi, juillet 16, 2007

Ch'nord et au delàààà!

Petite séquence: j'ai des super Week ends...
Premièrement: des photos d'une escapade familliale à Lille.

Ici, la pâtisserie Meert (alors!), apparemment très courue des Ch'nordistes.



Là: un détail du portail de la basilique.



Maintenant, des photos d'un parc près de Bru.



Et une autre.

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mercredi, juillet 11, 2007

Wanna work there.... pleeeease!


Tous les chemins mènent à Rome.
Sur le net, tous les chemins mènent à Gougueule. Vous savez ce monstre technologique qui est presque devenu le feu tricolore de la circulation sur la toile. Et bien, après avoir lu cet article que je recommande à tous les lecteurs anglophones (phones... enfin plutôt graphes, non? comment on dit quand on lit une langue?.. bref je m'égare), je suis resté sur le Q des avantages que pouvaient avoir les employés de cette grosse compagnie. Chez Gougueule, manifestement, on sait recevoir!

Dans le reportage qui suit, on apprend qu'ils reçoivent 25 CVs par minute... bon OK, y'a concurence! (Désolé c'est encore dans la langue de Benny Hill)



Quand tu sais que dans la même zone ce trouve ma Mecque (Oui, moi, quand je prie, je cherche pas l'est mais l'ouest. Cupertino c'est par où?) et une autre petite entreprise, tu te dis que c'est pas prêt d'être le cas ici en Europe. On crache souvent sur nos cousins outre atlanticards, mais sérieusement, sachant qu'on ( et eux surtout.. mais c'est un autre débat) passe plus de temps au boulot que chez nous, ça doit quand même être bien agréable de bosser dans de pareilles conditions.

Pour revenir à Gougueule, je vous ai trouvé deux autres portfolios: celui ci en langue d'oil, et celui là en langue shakespearienne.

mardi, juillet 10, 2007

Arcade en Feu: J-12

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Pub!


Un petit coup de pub pour un film magnifique: Persepolis.
C'est un dessin animé de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud. Ne soyez pas rebuté par le fait que ce soit un dessin animé, c'est avant tout un film. Plus exactement l'adaptation de la bande dessinée de Satrapi. C'est son histoire d'enfance en Iran et en Europe. Un choc des cultures. C'est émouvant et drôle. Et c'est surtout magnifiquement mis en scène. Pour l'anecdote: les voix sont celles de Catherine Im-a-queen Deneuve et de sa dauphine de fille, Chiara Mastroianni. Heureusement on l'oublie vite. Danielle Darrieux prête sa voix à la grand mère.
Accessoirement le film est aussi un des prix du jury du festival de Cannes 2007.

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vendredi, juillet 06, 2007

George, Brad, Matt et les autres


Je reviens de Ocean's 13 qui est le troisième volet de Ocean's 11, donc la suite de Ocean's 12. C'est donc Ocean's 11 3, ou bien encore Ocean's 12 2... je me perds là...


Bref, c'est une suite, et comme toute suite (qui plus est la troisième) elle perd en fraîcheur (Indiana Jones mis à part). Le réalisateur semble avoir signé un CDD pour un job d'été, donc pas vraiment investit dans son travail. Quant aux acteurs, ils cachetonnent. On se surprend à la fin à se demander si on a vu Brad Pitt pendant le film, est-ce que George Clooney était bien là et au fait... Andy Garcia, il aurait pas que trois plans dans le film?
"Heureusement" il y a Al Pacino. Et sa nouvelle coloration Regé Color. Il a choisit auburn, je serais resté dans le brun. Il semble qu'il soit d'ailleurs resté chez le coiffeur aussi, parce qu'il a autant de présence qu'un bandit manchot dans le film.
En plus, comme Julia Roberts devait avoir piscine, et Catherine Zeta Jones avait patchwork, on a été chercher Helen Barkin, actrice phénoménale mais qui ici se retrouve avec un rôle dont l'épaisseur égale la taille d'un jeton de casino.

Quand on voit tous ces talents réunis pour ça on se dit que c'est un beau gâchis. Mais bon, ça se laisse regarder, sans engouement. Comme on mange un flan.

Mais il y a deux choses qui sauvent le film du naufrage total.
1- Steven Soderbergh a élaboré un cahier des charges impeccable pour la réalisation. Angles originaux, filtres et couleurs chaleureux, musique au cordeau. Il se dégage toujours cette atmosphère de classe dans le film.

2- Le personnage principal reste le même: Las Vegas. Cette ville unique au monde est encore une fois magnifiée par le sus-dit cahier des charges de Soderbergh. Pour quelqu'un qui (comme moi) n'y a jamais les pieds, on a envie de foncer dans une agence pour booker son billet. Je prendrais la suite, le champagne et la table de crap's.

Voilà pour le film.

Mais j'ai aussi un petit message d'humeur.

Je m'installe dans la salle de ciné. En zone neutre. Personne à ma gauche avant deux sièges, idem à ma droite. Pendant les bandes annonces j'observe. A ma gauche, un shrek (wallon? flamand?.. européen on va dire). A ma droite, deux espagnoles qui parlent fort comme tout bon latins qui se respecte.
Le film commence.
Je vois mon ogre de gauche se pencher et glisser de dessous son siège un sac de commissions (ceux qu'on achète parce qu'on est écolo monsieur!). De là il sort son pique nique. Bouteille de soda, et paquet de chips taille XXL. Il met le générique à l'ouvrir. Manifestement soudé au fer à souder, le paquet refuse de s'ouvrir, d'où un bruit de froissement insupportable. Scronch scronch scronch....
Moi: A deux doigts de me déplacer pour l'aider: en tirant chacun de son côté on devrait bien y arriver.
Fin du générique: Scraaatch. C'est ouvert.
Et sa grosse paluche se saisit illico d'une poignée de chips.
Scronch, scronch, scronch. Merde! Le même bruit que l'emballage récalcitrant. Mmmfff!
Mais entre deux scronch scronch, je m'apercois que mes deux ibères cotinue de prendre des nouvelles de leur famille respective: "bla bla bla bla bla". Pardon: "bla bla bla bla Olé! bla bla bla Olé!"
Moi: regard de braise. Pas celui qui charme, mais celui qui tue. Deux, trois, "hum! hum!" plus tard, elles se taisent. Ho! pas grâce à moi. Juste parce qu'elles ont fini de faire le tour des cousins, frangins et de tata Isabella.
A ma gauche toujours scronch scronch scronch.
Je me concentre sur le film.
Plaisant.
Scronch scronch scronch.
Le film continue, quand, du côté de la péninsule ibérique, une lumière s'allume.
Un des deux danseuses de flamenco est gentillement en train d'envoyer des sms. Je déteste ça! Cette petite lumière (en fait assez agressive, surtout dans le noir d'une salle de cinéma) me distrait. Je perd le fil de l'histoire (déjà assez embrouillée pour mon QI de mollusque). Elle range son téléphone.
Scronch scronch scronch. Purée! Y'a combien de champs de patates dans son paquet à Gulliver?
Brad pitt boit un starbuck.
Retour de la petite lumière. Haaargh!
Scronch scronch scronch.
Lumière encore: mais cette fois-ci, deux rangées plus bas. Pffff!
Sronch scr... gloup gloup gloup (ben oui, après autant de sel, on équilibre avec le sucre du soda, mangez bougez!)
Lumière espagnole. Mais nom de d***! Elle souscrit à une assurance vie par sms ou quoi? Ha non. C'est sa consoeur qui s'y met. Me dite pas qu'elles se "parlent" en texto? Genre: "ta vu kommen ksé bien kom'film?"
Scronch scronch. Gloups. Fin du paquet. OUF!
Les lumières se calment (une panne de réseau sans doute...)
Brad pitt est déguisé comme un chasseur australien.
Scronch scronch scronch! Haaaaaa! Bouboule à d'autres paquets dans son sac! Haaaa! George, Brad, Matt ou Andy! Faites quelque chose! Butez les!

Donc en gros voilà. Déjà que j'étais pas emballé, mais ça n'a pas aidé.

Alors je me fais une simple réflection. Concernant les GSM et leurs propiétaires. Comment diable faisaient-ils pour vivrent sans eux avant? Quel est l'intérêt de laisser son téléphone allumé pendant un film pour lequel on a payé 9 euros (au bas mot) et dont on a, vu le prix, un certain intérêt à le voir? Je les range dans le même sac (à chips) que celui où je met les insupportables bavardeurs cinéphiliques.
Et surtout: ils en ont rien à battre de faire chier le monde. Ca me dépasse. Je le dis au aux gérants de salles qui me lisent (j'avoue assez peu nombreux quand même): à quand les brouilleurs dans les cinéma? S'il vous plait! Je mettrai même la main à la poche. Quitte à dévaliser un casino! C'est dire.

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jeudi, juillet 05, 2007

Arcade en Feu: J-17

Plus que 17 jours avant ZE concert des Arcade Fire à Nîmes.
Enorme, ça va être énorme.
Et en surfouillant (joli verbe non?) sur le net je tombe sur ça:
Un extrait du pilote des Frères Conelly (une seule et unique saison malgré des critiques à genoux). Cet extrait est unique car ce n'est pas la version qui est passée sur les écrans aux USA. Pour des problèmes de droit la chanson a été remplacée par un titre des Snow Patrol. Mais Tutube à la mémoire looongue.
Donc voici la sépquence finale du pilote avec en accompagnement musical: Rebellion (Lies), version qui ne sera pas dans l'épisode intégral.
Vous pouvez me dire merci! (et merci au blog stereogum).



et comme je suis perfectionniste, voici la version qui est passée, remontée et avec l'autre morceau. Désolé les Snow, mais Arcade c'était beaucoup, beaucoup plus fort.



(maintenant, prions pour que les vidéos restent assez longtemps sur TuTube pour que vous ayez le temps de les voir. C'est en plus une belle leçon de montage et d'impact musical sur une séquence..)

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mercredi, juillet 04, 2007

My car... stood up!


Alors là je pensais pas écrire ça.
Je ne sais pas si c'est l'été qui fait ça, ou bien le fait qu'on se croirait en octobre alors je veux croire à tout prix qu'un blockbuster peut changer la météo... MAIS J'AI BIEN AIME LE DERNIER MICHAEL BAY!!! Et en plus c'est Transformers!

Pour rappel, Michael Bay c'est le criminel qui a pondu les Bad Boys (encore que le premier peut passer), le vomitif Armaggedon (à cause du montage), du vomitif Pearl Harbour (à cause du scénario patriotique), du risible The Rock ou encore du très moyen The Island (une pâlichonne copie de Soleil Vert de Fleisher). Bref il a tout pour plaire.

Là dessus donc vous me proposez Transformers, un vague souvenir d'enfance en tant que dessin animé. Bien en dessous de Goldorak. Des robots qui se transforment en voiture, en camion et même en sèche linge (je suis pas sûr... pour le camion).

Forcément l'histoire tient sur un emballage de Chewing Gum. Mais bon. Je me suis dit: Pop corn, boisson sucrée en gobelet, ça passera bien.

Et bien c'est passé! Et plutôt bien! Pourquoi, me direz vous? Et bien parce que c'est drôle! La première partie est vraiment bien menée. Et cela tient au personnage de Sam Witwicky joué par l'excellent Shia LaBeouf (ce nom... en France ça serait dur de bâtir une carrière avec un nom qui laisse à penser qu'il a pondu un bovin... respect ceci dit!). Je ne connaissais que vaguement ce jeune acteur et il tient tout le film sur ses épaules. A noter qu'il sera le fils dIndiana "pas trop vieux?" Jones dans le quatrième opus actuellement en cours de tournage.

Ceci dit, ça fait boum boum boum, le secrétaire d'Etat à la défense prend part à l'action comme de bien entendu et ha oui! ça fait boum boum boum. Je l'ai déjà dit? C'est parce que ça n'arrête pas dans le film. Quand il va sortir en DVD y'a des problèmes de voisinage à prévoir, car il y en a qui vont tester leur home cinéma 5.1!
C'est un film à voir en salle, définitivement. De plus, la partie d'exposition terminée, le film vire tout de suite vers le jeu vidéo dont le réalisateur tient les manettes, pour une fois dans un montage plus fluide qu'à son habitude. Moins de risque d'épilépsie ici. Le fait que tonton Spielberg est derrière en tant que producteur doit y être pour quelque chose. En gros: "Calme ta testostérone et concentre toi sur l'histoire. Je t'assure un plan peut faire plus de 10 secondes!".
Donc merci Steven!

Ceux qui restent réfractaires aux effets spéciaux doivent continuer à passer leur chemin. Pour les autres, allez-y sans problème, c'est du pur divertissement.

Un film oubliable mais agréable.

***

Avant le film, on a eu quelques bandes annonces dont celle ci-dessous dont je n'avais jamais entendu parlé. Ca donne envie.

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mardi, juillet 03, 2007

Sur le vif!

Deux photos prises avec soin par mes soins.

Ici, ce sont les SODLES, et c'est un opticien qui vous le dit.
"Vu! j'avais pas vu!"



Un chauffeur éveillé en vaut deux!
Heu, le café, avec ou sans sucre?

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