Rien
Tout d'abord: comme 11,6 millions de personnes hier j'ai regardé TF1: je m'en repentirai prochainement en entamant un jeûne expiatoire (on est en plein ramadan, ça tombe bien!).
J'étais très curieux de voir la Robin en Marie Besnard. Elle passait quand même derrière Alice Sapritch qui avait incarné (quasi au sens littéral du terme, à savoir charnel) cette femme et qui était restée gravée dans ma mémoire.
Qu'allait donner Robin dans un rôle aussi casse-gueule et accessoirement, qu'allait donner ce "remake" made in TF1. Qu'apporterait-il de plus?
Alors? Ben rien.
J'avoue ne pas avoir été jusqu'au bout (je suis en train de dévorer une excellente série US "Firefly") donc mon jugement ne porte que sur 40 minutes du film. Mais c'est très plan plan, rien de nouveau sous le soleil. Y'a-t-il vraiement besoin d'un réalisateur pour les téléfilms français? On pause la caméra et zou! Ca toooourne. Donc le réal c'est un trépied.
Quant à la Robin, que par ailleurs j'adore sur scène (mais beaucoup moins, et de moins en moins, en interview), elle frôlait le ridicule. Personne, et en particulier le "réalisateur", ne pouvait lui dire que sa moue n'était franchement pas nécessaire. Elle fait la tronche et elle le fait bien. Trop sans doute. Elle n'était pas aidée par des dialogues écrits à la plume Sergent Major qui sentaient bon les années 50... telles qu'on se les imagine. Rien d'innovant. C'est encore une fois ce que je reproche. Il faut dire que l'histoire à la base a été battue et rebattue tant de fois qu'on voit vraiment pas l'intérêt d'une telle entreprise à la base.
Bref: de la télé franchouillarde comme les diffuseurs héxagonaux aiment à nous servir, comme la soupe.
Sinon, comme je n'ai rien de mon côté de bien innovant, justement, à vous raconter, j'ai décidé de mettre ici deux visuels que j'ai fait récemment. Le premier est un flyer pour une petite beuverie que j'ai faite pour mes XX printemps. Et l'autre est un essai de logo et carte de visite (cliquez dessus pour les voir en grand). J'aime bien travailer sur les logos. Un jour j'en ferai un d'aussi marquant que celui de Coca Cola ou de Michelin.
Ben quoi? On a pas le droit de rêver? En plus je suis pas cher.
Sinon tutti va bene*
(*tout va bien pour les non adeptes de pizzas surgelées)
J'étais très curieux de voir la Robin en Marie Besnard. Elle passait quand même derrière Alice Sapritch qui avait incarné (quasi au sens littéral du terme, à savoir charnel) cette femme et qui était restée gravée dans ma mémoire.
Qu'allait donner Robin dans un rôle aussi casse-gueule et accessoirement, qu'allait donner ce "remake" made in TF1. Qu'apporterait-il de plus?
Alors? Ben rien.
J'avoue ne pas avoir été jusqu'au bout (je suis en train de dévorer une excellente série US "Firefly") donc mon jugement ne porte que sur 40 minutes du film. Mais c'est très plan plan, rien de nouveau sous le soleil. Y'a-t-il vraiement besoin d'un réalisateur pour les téléfilms français? On pause la caméra et zou! Ca toooourne. Donc le réal c'est un trépied.
Quant à la Robin, que par ailleurs j'adore sur scène (mais beaucoup moins, et de moins en moins, en interview), elle frôlait le ridicule. Personne, et en particulier le "réalisateur", ne pouvait lui dire que sa moue n'était franchement pas nécessaire. Elle fait la tronche et elle le fait bien. Trop sans doute. Elle n'était pas aidée par des dialogues écrits à la plume Sergent Major qui sentaient bon les années 50... telles qu'on se les imagine. Rien d'innovant. C'est encore une fois ce que je reproche. Il faut dire que l'histoire à la base a été battue et rebattue tant de fois qu'on voit vraiment pas l'intérêt d'une telle entreprise à la base.
Bref: de la télé franchouillarde comme les diffuseurs héxagonaux aiment à nous servir, comme la soupe.
Sinon, comme je n'ai rien de mon côté de bien innovant, justement, à vous raconter, j'ai décidé de mettre ici deux visuels que j'ai fait récemment. Le premier est un flyer pour une petite beuverie que j'ai faite pour mes XX printemps. Et l'autre est un essai de logo et carte de visite (cliquez dessus pour les voir en grand). J'aime bien travailer sur les logos. Un jour j'en ferai un d'aussi marquant que celui de Coca Cola ou de Michelin.
Ben quoi? On a pas le droit de rêver? En plus je suis pas cher.
Sinon tutti va bene*
(*tout va bien pour les non adeptes de pizzas surgelées)
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