Non. Je ferai pas mieux ce soir.. Pire même. On m'a cependant signalé que j'avais oublié LA chanson de Noyel absolue. Celle par qui tous les DOM-TOM commencent les festivités. Celle qui fait danser jusqu'aux perroquets empaillés!
Je ne la trouve pas sur le web cependant... quel dommage. Mais rien que le titre devrait vous pourrir la tête: Noël Joyeux Noël Bons Baisers de Fort de France...
Pas trop le temps ce soir alors je ne fais que balancer la chanson. Sachez juste qu'elle provient à l'origine d'un film et qu'elle était chantée par Judy Garland en 1944.
Ben sinon tout va bien. Je sais il est sec le Karoutcho ce soir mais je ferai mieux demain ;)
Le feuilleton (halletant) des chansons (enfin de mes chansons) de Noyel continue. Cette fois c'est une chanson religieuse. Un cantique. Mais un cantique français Madame! Je veux parler de "Minuit Chrétien", "Ô Holy Night" dans le pays de la perfide Albion. Passage historique: ce cantique fut écrit par un négociant en vin du nom de Placide Hémuseau..heu non, Placide Cappeau, en 1843. Ce négociant était aussi poête. Devait-il boire son fond de commerce pour écrire on ne le saura sans doute jamais car qui se soucie aujourd'hui de la véritable histoire de Placide Cappeau? Je vous le demande. Ne répondez pas tous en même temps. La musique fut quant à elle composée par Monsieur Adolphe Adam qui n'est autre, pour les connaisseurs de ballets (pas les sweefers j'entends), que le compositeur de Gisèle qui fut plus d'une fois montée à l'Opéra Garnier et dans le monde (je parle du ballet bien sûr..). Je ne m'étendrai pas sur les paroles qui m'horripilent en bon laïcard que je suis, que ce soit la version française (de notre placide ivrogne donc) ou bien anglaise (qui date de 1855) puisqu'elles glorifient la naissance de Qui vous savez. Encore que, la version anglaise est dûe à un certain John Sullivan Dwight, pasteur de son état et qui, au détour d'un vers, glisse une petite note abolitionniste dans le 3ème couplet: "for the slave is our brother".
La chanson est tellement connue qu'aujourd'hui pas un américain ne pourrait imaginer que ce fusse une chanson française. Hors, il y a peu, en plein dévidement de vin français dans les caniveaux d'outre-atlantique, je me demande si sieur Bush, dans son infinie ingénuité, chantait encore, au pied du sapin, cette chanson, main dans la main avec madame et fifilles en pleurant, priant, implorant, et en se disant: " En v'là une que ces mangeurs de grenouilles n'auront pas!". Ha! Tu l'as dans le missel mon grand!
Cette chanson est assez difficile à interpréter à cause de ces variations extrêmes. En gros faut du coffre. Il fallait donc que je trouve une version qui tue. Je me suis logiquement tourné vers TuTube où, bien évidemment, j'ai déniché une version meuglée par mon petit veau carré mais comme je vous l'ai suffisamment servie à haute dose il y peu, j'éviterai. On a bien aussi une version de D'Céline, mais là, ce sont les autorités sanitaires qui ont bloqué l'accès au morceau. Et puis, au détour d'une recherche, je suis tombé sur une version sans parole. Mon côté sans-culotte* s'ébroua de joie (*politiquement évidemment, je n'écris pas instamment nu quand même... enfin pas là, non). Quand en plus j'ajoute que c'est une version jouée par des cuivres de la Nouvelle Orléans en hommage à cette ville dévastée, je commence à vous intéresser, n'est-ce pas? Si je surenchérie en disant que cette version provient d'un des derniers shows à succès de la télé US où l'on retrouve Matthew "Chandler" Perry et Amanda Peet sur le monde de la télé justement: je vous interpelle là, hein?! Ce show c'est "Studio 60". Il est produit par la créateur de "The West Wing - A LA Maison Blanche". C'est paraît-il très très très bien (amorcez vos bandes passantes ;) ).
Donc, même pour les non Noyelophiles, essayez quand même de voir cela, je trouve le morceau superbe:
Pour ceux qui ont apprécié et qui voudraient une version sans les dialogues et purement audio c'est ici que ça se passe. Rassurez-vous c'est gratuit ET légal: cela provient du site de NBC qui l'a grâcieusement mis en ligne (pour combien de temps je ne sais pas).
En cadeau bonux, et parce-que ce sont les Fêtes, une version trash: celle de South Park. Il faut savoir que la version est tellement culte pour certains fans qu'elle passe à la radio aux Fêtes... enfin pas toutes je suppose (et sûrement pas celles qu'écoute G.W.B.). Elle vient de l'épisode: "Mr. Hankey's Christmas Classics". Enjoy! Régalez-vous!
Dans la continuité continue de ce blog et pour avoir une cohérence éditoriale irréprochable poursuivons la liste des plus grandes chansons de Noyel. Ce coup-ci penchons nous sur "Jingle Bells", une chanson de Noyel plutôt jazzy, connue pour les francophones sous le titre "Vive le vent".
Cette chanson fut écrite aux Etats Unis en 1857 par un certain James Pierpont pour la fête de Thanksgiving: donc rien à voir avec Noyel. D'ailleurs le titre original est "One Horse Open Sleigh", littéralement Un traineau Décapotable à Cheval... ce qui ne veut rien dire: c'est qu'on pratiquait déjà pas mal la fumette dans la Congrégation Unitaire de Géorgie où notre Jimmy était organiste (non pas qu'il jouait avec son organe mais plutôt de l'orgue). La chanson eu un tel succès (des missels qui volaient en l'air, des petites culottes jetées sur l'autel, un déluge de vin de messe) qu'on décida de la reprendre à Noyel pour la célébration non moins festive de la Sainte Naissance de l'Aîné des Nazareth. Les paroles de cette incroyable chanson n'ont pas vraiment de connotation religieuse: bien au contraire. Elle narre l'histoire d'un beau gosse qui se la pète sur son traîneau avec une belle, mais le bourrin s'emballe, le traîneau se renverse, le rival qui veut aussi son cadeau de Noyel (à savoir la blonde) se fout de sa trogne, du coup l'autre gugus, un peu vert de rage, emmène les filles du coin pour un tour de parking avec son traîneau tunningué et pour clore le débat pousse les gaz et emmène le traîneau à un rythme d'enfer pour battre le prétendant qui bien évidemment abandonne. J'ai un peu condensé l'histoire mais c'est ça. Je vous assure : allez lire les paroles en anglais pour les anglophones et vous le verrez de vous même. Ce qui n'a rien à voir avé la version française qui est plus axée météorologie.
Sachez que de nombreuses parodies de la chanson existent. Notamment une version que chantent les petits anglais:
Dashing through the snow, On a pair of broken skis, Over the hills we go, Crashing into trees, The snow is turning red, I think I might be dead, All I want this Christmas is an artificial head!
Jingle Bells, Batman Smells, Robin Laid an egg, The Batmobile lost a wheel, On the M6 motorway.
A chanter bien évidemment sur l'air de cette Meeeeeerveilleuse chanson que vous pouvez ouïr ci-dessous. C'est la version de Môssieur Sammy Davis Jr, s'il vous plaît.
Pour finir avec les anecdotes: cette chanson est la première chanson jamais diffusée depuis l'espace et ce depuis le module Gemini6 piloté par Tom Stafford et Wally Schirra qui jouèrent la chanson à l'harmonica et au tambourin le 16 décembre 1965. On ne leur a jamais dit que le cousin de Tom, Wilbur, qui était un déconneur de première, avait remplacé le Christmas pudding par un Space cake (quoi de plus logique pour des astronautes). Paraît que E.T. ne s'en est pas remis.
Dans la série: une chanson de Noyel par jour, je continue ma liste. Alors non, Nicow, ce ne sera pas "Last christmheart I give you my Ass" des Wham (no comment) mais, et vous en serez sans doute les premiers surpris, "All I want for Christmas" de ma chaire et tendre Mariah Carey. Je ne connaissais pas cette chanson avant d'avoir vu "Love actually". Maintenant je dois avouer qu'elle fait partie des meilleures chansons de Noyel. Alors j'ai cherché, et trouvé, une version audio de la dite chanson. Puis je me suis dit: une chanson de mon petit veau favori sans les images c'est comme un sapin sans boule ou un eunuque sans voix de castrat: ça ne se fait pas. Donc direction TuTube où j'ai trouvé différentes versions de la chanson. J'ai dû en choisir une...
Je vous ai épargné la première version qui est kitshissime: Mariah découvrant ses cadeaux de Noyel, Mariah ouvrant ses cadeaux de Noyel, Mariah découvrant ses cuissots, Mariah s'ébrouant, tel un Saint-Bernard, dans la neige, Mariah en combi de ski: bref, une vraie collection de Martine.
Suite sans doute au succès grandissant de la chanson, les directeurs marketing de sa précedente maison de disque se sont dit: on ne peut la laisser s'ébrouer comme ça dans la neige: 1- elle va attraper froid 2- c'est ridicule Alors retour en studio pour tourner un clip façon 60's. Il faut noter une chose, non, en fait plusieurs choses. Tout d'abord, pour faire 60's, la coiffeuse s'est dit: c'est clair la tignasse de Mariah c'est pas ça, faisons dans l'ajout. L'ajout elles aiment bien ça les coiffeuses. Et du coup Mariah aussi. Un ajout, deux ajouts... plus rien ne pouvait arrêter manifestement Rita la reine du brushing. Mais Mariah s'y est mis aussi: "more, more, more.. i tell you more! Bitch!" Résultat, not'Mariah chante tout le clip avec un castor mort sur la tête. Comme c'est Mariah, la reine du bon goût, personne sur le plateau n'a osé lui faire remarquer. Tant mieux. Sinon c'est moins marrant. Et comme Mariah c'est aussi la reine.. tout court, elle a fait le casting. Le réal' lui a dit: il faut deux danseuses. Mariah a dit: "Ok I'll take care of that Honey" (oui, Mariah elle appelle tout le monde Honey). Après un casting à la sortie des chaînes de chez Madrange, la reine avait trouvé sa cour. Une cour qui la met en valeur. On peut donc voir pendant le clip, not'Mariah s'époumonner "Baby all I want for Christmas is you Ooh baby" avec en arrière plan deux jambons qui sont manifestement sous acide. Ginette et Nicole, on l'appprendra plus tard, on aussi participé au clip "Le Jerk" de feu Thierry Hazard. Et comme ça ne suffisait pas, elle a fait appel au staff de la cantine pour faire les choeurs: on voit donc trois Demis Roussos passés au grill thermostat 8/9 affublés de sac à viande en strass. Du Dolce Gabbana je crois.
Du coup, après tant de merveilles, je me suis dit: mais que proposer? Puis-je décemment trouver un clip à la hauteur de ces vertigineuses réalisations? ET BIEN OUI! Je vous ai dégoté une vidéo où not'Mariah est en pleines formes. Pour battre le record du kitsh-et-du-bon-goût on prend les ingrédients suivants: 1- Not'Mariah en tenue de scène façon Christmas mais avec talons genre: je vois bien qu'il n'y a personne au premier étage de cet immeuble. 2- Une émission de télé américaine de Noyel 3- Pour que ce soit Noyel à fond on tourne ça à Disneyland tout décoré en Noyel 4- On trouve un public à qui on a promis une entrée gratuite au parc si, et seulement si, ils acceptaient d'être affublés d'un chapeau de lutin 5- On rapatrie la troupe de danseurs de Pascal Sevran (vu qu'ils vont bientôt être au chômage technique.. du moins on l'espère)
Et on obtient ça: Click play Baby!
Notez que Mariah est dans le thon: "Quoi de plus naturelle, s'est elle dit, de montrer ma m.... à tout le monde vu que c'est l'époque des fruits de mer." Même les soldats de bois.. ne reste pas de cette matière: voir leur nez... ho je sais... grande classe. Mais honnêtement: Noyel c'est pas la fête des n'enfants? Il aurait dans ce cas fallu dire à la Reine qu'elle ne se sente pas obligée de poser comme dans les calendriers Pirelli à chaque nouveau couplet! Notez aussi la participation active du public, encore sous le choc je pense d'avoir vu le plateau de fruits de mer de Mariah, qui s'esbaudit à chaque ouverture de cadeaux: Ho! des bonhommes pain-d'épices qui dansent, ho! des lutins tout comme nous! En tout cas c'est la folie dans le parc: même Baloo tape des mains. Mais je pense que le réal' de l'émission devait en avoir assez d'avoir entendu la chanson 2000 fois depuis les répètes.. je vous dit pas comment à la fin il nous l'expédie en sous-sol vitesse grand V.
Je ne renie pas le début de mon message: j'aime bien la chanson. Elle donne la pêche! Après ça... tout va bien! et dans le meilleur des mondes.. Disney bien sûr.
Comme vous le savez (non? z'étiez sur Mars pour un séminaire?) c'est bientôt Noyel et je me dois d'avouer que moi, j'aime bien Noyel. Non.. j'adooooore Noyel. C'est ainsi que j'ai décidé de vous vous faire subir un choix, quotidien j'espère, des plus belles chansons de Noyel.. et ce jusqu'à Noyel. Je me fous des âmes chagrines qui se moqueront.
Pour commencer, ma chanson préférée, celle qui sent bon le sapin (surtout pour la chanteuse.. vu qu'elle est morte), le chocolat chaud, la nuit à guetter les pas du père Noyel et la joie de jouer au matin.. avec les emballages.
Je ne savais vraiment pas sur quoi écrire ce Week End. Certes j'aurais pu vous narrez mes incroyables activités: laverie (déjà fait), courses au Delhaize, aspiro-ménage ou bien encore mon shopping de Noël. Shopping qui fut écourté: 1- Ya décidément trop de monde le week end avant les fêtes.. ben quoi? les gens ne s'y prennent donc pas en avance? C'était d'ailleurs assez marrant de voir soit un père avec les mioches soit la maman avec les mouflés en chasse pour trouver LE cadeau du conjoint. Et ça ne manquait pas : les pères à la parfumerie et les mômans au rayon GSM et trucs électroniques. 2- J'ai pas d'idée. Et sans idée on est quand même à deux doigts d'acheter tout et n'importe quoi. Ho oui tiens un vase de 2m de haut.. ou bien ce chandelier de 6m d'envergure, assorti au pré-dit vase. J'ai donc décidé que: niet je ne prends rien. Quand je tomberai sur quelquechose sur lequel je flashe je prends sinon ben tant pis. La conso à tout va commence à me fatiguer. Oui! moi le shoppeur (pas le choppeur... ça se serait). 3-OK: ma soudaine rebellion contre la société de consommation se trouve grandement facilitée par ma situation financière qui s'inspire de la balance commerciale du Sahel.
Donc rien à dire vous disais-je. Et puis ce matin, en écoutant le podcast de 2000ans d'histoire j'ai entendu le seul entretient enregistré de Seznec, qui ne sera pas, tout compte fait, réhabilité. Cette entretient avait lieu en 1945 et Seznec rentrait de 20 ans de bagne. Il disait qu'il était complètement perdu. Il ne se reconnaissait plus: le bonhomme venait de zapper 20 ans d'évolution de société. En gros les moeurs avait complètement changé et "c'était mieux avant". Du Cabrel des guignols!
Et ça m'a fait réfléchir: les moeurs de 1945, qui nous ferait tomber la mâchoire tellement elles sont différentes des nôtres aujourd'hui, et bien ces moeurs était à la limite de la dépravation pour quelqu'un qui était resté scotché 20 ans auparavant.
Donc imaginons une personne qui s'est pris 20ans de réclusion en 80 et sort maintenant. Et bien effectivement il risque de ce prendre une claque: - Une femme est potentiellement présidente de la République française, et de surcroît déjà présidente de la région du chèvre frais. - Tom Cruise est toujours là. Mais engrosse tout juste une jeunette qui croit, tout comme lui, que nous descendons d'aliens. - On a élu deux fois Chirac, oui, l'aigle agité du bêbêteshow! - Personne ne connait Stéphane Collaro - Le maire de Paris est rose: politiquement et privativement. - Alors que la "chanteuse" italienne Sabrina défrayait la chronique avec un haut de maillot de bain qui exécutait fort bien la loi de Newton, de nos jours on s'étonne que Lorie puisse avoir du succès sans montrer un seul de ses attributs féminins. - La télévision américaine ne diffuse plus de direct (toujours rapport aux même attributs) - Cette même télévision diffuse des mini pornos à toute heure sous forme de clips RnB - Des gens parlent seuls dans la rue à d'autres personnes seules potentiellement à l'autre bout du monde - Le minitel s'appelle désormais Internet et on peut y trouver le clip de Sabrina que l'on peut envoyer à ses amis par courrier électronique. - Madonna est toujours là - Michael Jackson est blanc - La reine d'Angleterre est toujours vivante - Margaret Thatcher est toujours vivante - Coluche est mort mais pas ses restos - On fête halloween en Europe - Le franc n'existe plus - Le dollar est équivalent à la roupie mongole - On peut aller en Angleterre sans prendre ni le bateau ni l'avion - Je tiens un blog.
Oui en 20 ans les choses ont changé.
Mais était-ce mieux avant? Et c'est quand "avant"? J'étais né que la peine de mort existait encore en France.
Je ne sais pas comment finir ce billet... mais j'aimerai beaucoup pouvoir le mettre à jour dans 20 ans. Pour comparer 2006/2026.
...est ce que Thatcher sera encore en vie? si oui.. y'a vraiment pas de justice.
ps: la bannière spéciale fêtes est floue je sais... problème de gestion des images avec le nouveau format blogger. Désolé.
C'eeeest pas possiiiiiible!!! J'ai plaaanté mon mac (cf. photo). NNAAAAAAANNNNNN!!! Salop*%+£ie de mise à jour de sécurité de M##de!!! Tu parles d'une mise à jour de la sécurité! La sécurité c'était de ne pas l'installer HAAAAAA!!!! Je vois d'ici les soirées à surfer pour trouver la parade. Moi qui voulait un système où j'ai pas à rentrer dans le coeur de la bête pour la réanimer! Et les pro-PCs qui vont me tomber dessus: "Ba alors?? je croyais que c'était stable???" Mais c'est stable ... QUAND CA MARCHE!!!! HAAAAAAAAAAAAAAAAA!
Bon il me faut un truc pour me détendre. Tiens je sais , faut que je ris: allez zou! Des poules qui jouent au piano: ça, ça va me détendre!
HAAAAAAAAAAAAA!!! toujours pas détendu. Passez moi le fond de Lexhomyl XXL: oui tout le tube. .. ... .... Je me sens... pas mieux! HAAAAAAAAAA!!!
De la musique! C'est ça! De la musique!!
La géniale Tori Amos en Live ça devrait le faire. Une virtuose. C'est bien une virtuose pour se calmer non?
Cornflake Girl... c'était bon ça. Où j'ai mis ce mp3 d'ailleurs que je le foute à fond sur mon nIpod? BOOOOOOOOOO!!! c'était sur le disque dur de mon iBook. HAAAAAAAAAAAA!!!
Reste le bazooka. L'arme fatale qui me fait oublier tout: un petit Beatles. Allez même un Beatles frelaté fera l'affaire. Même un de ceux qui sente le contrat d'exploitation co-signé par Yoko (de la roche aux fées) et Paul MacCartney. La chanson est basique, quasi nulle mais le clip est plein de références..
Freeeee as a bird. Freeee... freee des ordinateurs de sous marque qui tombe en rade à la moindre mise à jour!
Bon qu'est-ce que je fais? Hein? moi maintenant sans ma radio le matin. Oui parce-que moi le matin j'écoute la radio sur le net. Et peux plus. Bon OK je peux toujours sur l'autre mac mais c'est pas pareil. Il est pas dans ma cuisine! (qui a dit MPR?: Mega Problème de Riche?). Je vais m'ouvrir les veines, me mettre la tête dans le four.. à micro-ondes! M'écouter toute l'oeuvre d'Isabelle Boulay! Me jeter sous le tram des Maréchaux! Tenter de résoudre un sudoku! Regardez un tournoi de Curling! Visiter une expo sur l'art indien (3000 statues de Shiva ça tue croyez moi!). A moins... A moins que... QUE JE RACHETE UN AUTRE iBOOK! Le tout nouveau! Avé l'écran qui brille! Ho Oui! Ho Oui! .. Je viens subitement d'avoir une perfide pensée: que personne ne puisse le réparer.
J'ai testé la Wii!!! Merci Nicow pour le Wii-kend. Pour ceux qui n'auraient pas suivi ou qui vivaient sur Mars encore récemment allez ici, vous aurez toutes les explications. Cette nouvelle console de Nintendo est tout simplement une petite révolution dans l'art des jeux vidéos. Oubliez les courses rébarbatives, les soirée à regarder les potes s'entretuer à coups de manettes, le long apprentissage des x triangles ronds carrés. Maintenant c'est: tu joues au tennis? et bien vire tous les meubles du salon, mets dans un coffre le vase en cristal d'Arc de Mamie Jacquotte, décroche les cadres Ikéa et zou! joue! Une ou deux "remotes" dans les mains: tu sers, tu slices ton revers, tu coups droit à mort! Une partie de Bowling? Chausse tes Charentaises anti-dérapantes Sholl, mets une compil' Cherie FM en fond sonore et lance la boule ma poule! Tu te sens plus en contact de la nature et ton truc c'est le golf? Décroche le lustre et swingue comme un fou sur ton green-tapis-de-bain-vert. Tu entendras même le son du club en action dans la manette. Tu tapes la balle, ça vibre. Pas la peine de s'inscrire au Club-House où on te regarde de travers parce-que t'as pas un 4x4 flambant neuf sur le parking. Tu es plutôt Chasse-Pêche et Tradition? No problemo: une partie de pêche à la ligne ou un "duck-hunt" te permettront d'être un vrai Saint Josse. Bref: on y croit, on y est, on sentirait presque l'odeur des chaussures de prêt pendant le bowling ou celui du pop-corn pendant le base-ball. Attention cependant: le titulaire d'un bail pour un appartement de 3 mètres carré se sentira un peu à l'étroit et courrera le risque de finir la tête dans le mur. De plus: ce n'est écrit nulle part dans le manuel mais le lendemain de telles parties effrénées il y a un fort risque de disfonctionnement musculaire. C'est bien simple, avant les (moults) sessions de Wii Sport (c'est le nom du jeu livré avec la bête) je ressemblait à ça:
Après j'étais plus proche de ça:
Bref: il y pas mal de coach potatoes comme moi qui vont découvrir que si! finalement on a des muscles... on les connaissait pas c'est tout!
Ca coûte 249 euros, ce n'est pas indispensable mais pour sûr il m'en faut une A MOI!
Autre "test": et ça n'a rien à voir. Je suis allé voir Happy Feet. C'est le dernier film d'animation généré par ordinateurs en date. Il doit en sortir un par semaine ces temps-ci. J'avoue avoir zappé tous les derniers depuis Les Indestructibles. A trop en sortir l'envie n'était plus là, et l'inspiration des studios itou. Même les studios PIXAR m'avaient bien déçus avec Cars. Celui là m'a intrigué suite à deux bandes annonce (je sais jamais où mettre l'accord) particulièrement titillantes. Et bien j'en suis ressorti avec la satisfaction d'avoir vu la meilleure comédie musicale depuis Chicago. L'histoire n'est pas bien compliquée: c'est celle du vilain petit canard. On dépense la moitiée du budget avec des voix de stars: N. Kidman (attention elle chante), R. Williams (l'acteur pas le tatoué), H. Jackman (a.k.a Wolverine).. On prend le réal George Miller (aucune parenté avec le psy télévisuel) auteur des Mad Max et de Babe. Et au final on agite le shaker dans le catalogue musical de la Warner (producteur du film et aussi maison de disque). Et bien j'ai été charmé. L'animation est excellente: on arrive presque par moments à se demander s'ils n'ont pas détourné des images d'Ushuaïa Nature. Les paysages sont splendides. Pas de clins d'oeil lourdauds à d'autres films comme c'est trop souvent le cas dans les derniers anim'. Mais on peut voir des inspirations. Dans le film, les humains (joués par de vrais acteurs) sont des aliens pour les manchots, et communiquent avec eux grâce à la musique... ça ne vous rappelle rien? tin tin tin tin... forcément écrit ça donne moins: les quelques notes avec lesquelles François Truffaut dit coucou aux aliens de Spielberg dans 3rd Kind Encounters (j'aime bien le titre en anglais ça fait "j'm'y connait grave"). D'ailleurs l'apparition d'un bateau dans la brume n'est pas sans rappeler aussi l'arrivée du vaisseau dans le même film sus-cité. La réussite du scénario c'est d'avoir collé aux différentes expèces du film des caractéristiques "ethniques" propres à la société américaine: les blacks pour les manchots royaux, les latinos pour les pingouins (avec un numéros de haute volée de Robin Williams sur "My Way-Comme d'Habitude"). Et que je bouge comme une jeune black, et que je fait le beau comme un latino. Les manchots sont sensés être des chanteurs nés et le malheureux Happy Feet (doublé par "Frodon" E. Wood) chante comme un candidat de la StarAc'. Il est donc rejeté: c'est ici la première partie du film, reprenant le fil du vilain petit canard. Puis arrive une deuxième histoire pseudo-écolo sur les dégâts des hommes sur leur communauté. Pas la mailleure partie de l'histoire mais certainement les meilleures moments musicaux. Les mouvements de foules sont impressionants et la bande son est soignée. Malheureusement l'UGC a cru bon de coller le film en V.O. dans une salle pourrie avec un son à la puissance proche du mange-disque de mon enfance. En 5.1 ça doit le faire. Et je refuse de le voir en V.F. Hors de question de me taper Anthony Kavannagh immitant Hugh Jackman. La fin n'est pas heureuse: enfin dans le sens réussit, vous inquiétez pas sinon ça fini bien. Bref: pas un chef d'oeuvre mais bien au-dessus des dernières sorties. Et comme l'espionnage industriel est un sport hollywoodien, un autre Studio (Sony pour ne pas le nommer et aussi maison de disque à ses heures) sort bientôt une histoire de... pingouins. Ils seront surfeurs cette fois ci. La bande annonce est déjà déplorable..
Comme il faut bien vivre et faire rentrer un peu de beurre pour sucrer les épinards voici quelques pubs. Mais classes. Mais des Pubs... Mais Classes...
La classe absolue de Sharon (un peu photoshopée certes mais quand même..)
La classe absolue de George
La classe absolue de George (bis): je n'arrive pas à trouver la version belge: non pas qu'il arrive avec des cornets de frites mais il regarde par le juda. Pas trouvé. Alors version italienne. J'aime moins la fin.
Pour la France on a ça: le ridicule absolu de Johnny (et malheureusement ça ne tue pas)
Parfois la pub fait même des miracles... cette pub est presque un hommage à MJ. On pourrait presque la passer à ses obsèques. Il n'est pas mort? ha? j'ai cru...
Pour finir LE KITSH absolu: Pepsi (encore??? ben je vous le dit que je veux du beurre pour sucrer mes épinards!) se dit: "et si on prenait Gladiator et Queen et Enrique Iglesias et Britney Spears et P!nk et Beyoncé?" Et l'agence de pub, craignant de perdre son plus gros annonceur dit: "heu.. oui.. pourquoi pas?" Et ça donne ça... (attention c'est long à charger... c'est une pub de 3 minutes.. si! si! TROIS minutes. Quand il s'agit de détendre les cerveaux on rigole pas).
Après ça, je m'ouvre une chtiote canette.. et tout va mieux!
Je l'ai vu! ..non pas Moncuq.. La nouvelle chaîne d'info continu made in France: TV Chirac.. heu, non, France24. Déjà le nom... France24. C'est vraiment pas percutant je trouve. "Hier t'as vu le reportage sur France24??? dément!!!" Bof.. Pis ya le logo. C'est tout de même le logo le plus moche de l'hsitoire de la télé. Les ondes encore ça peut passer mais la typo est terrriblement moche et bizarrement placée je trouve. Le blanc bleu est fade. Bref, comme le titre pas percutant. Et sur l'image ça bouffe de la place. Fort heureusement l'habillage est beaucoup mieux réussit. Les génériques des émissions sont plutôt nickels, assez proche du style d'EuroNews dans la sobriété.
Mais tout ça n'est pas le plus important. L'important c'est le contenu. et bien pour vous faire une idée passez donc par le site: FRANCE24.com On arrive d'emblée sur un site... enfin sur une page, vide. Pour l'instant le site est en développement et sera lancé dans la semaine. Donc pour le moment on a juste le streaming de la chaîne (en exclu sur internet, bonne idée).
Alors, première impression: tout d'abord par le .com on est sur la version anglaise. Et ça c'est marrant. Le feed anglais ne se contente pas d'une voix off en anglais mais est une version à part entière, avec ses propres présentateurs anglophones. Mais tous sont basés à Paris (sauf évidemment pour les envoyés spéciaux). Forcément je suis arrivé au lancement alors pour l'instant c'est des loops sans intérêt. Un décrochage toutes les 10mn pour un journal court. Les journalistes sont anglophones, ce qui veut dire que de temps en temps se sont des français qui font le journal en anglais. On sent l'Assimil en accéléré quand ils parlent mais ça passe.
Bizarrement la version française fait moins aboutie. Les (jeunes) journalistes semblent encore chercher leurs marques. Quant à la version arabe... ben je suis tombé sur de l'anglais. Sans doute pas prêt.
Le premier journal s'est bien évidemment clos sur la soirée de lancement qui a lieu en même temps. Premier interviewé: SAS Galouzeau De Villepin a.k.a Premier des Ministres. La journaliste oublie dans un premier temps de lui tendre le micro pour répondre (c'est une blonde) et on imagine le réal dans le car régie:"le micro ma poule!!!! tend lui le micro MERDE!!!" SAS a donc ensuite pu répondre. Comme d'hab il s'emporte sur un besoin d'expression de liberté après le 11 spetembre, et comment le MONDE avait besoin d'une chaîne (je cite) "insolente, jeune, professionelle...". Bref, le Monde peut maintenant respirer. TF1 et France TV, les deux époux qui ont mis chacun 50/50 dans la corbeille, vont offrir au MONDE un souffle nouveau d'information, tout juste raturé ici où là par le quai d'Orsay ou par le bureau de LeLay (vous savez, le Breton pas Français, Bir Mat Pat!).
Ha tiens: en direct de Jérusalem, Charles Enderlin, de France2 qui est donc aussi correspondant pour France24 (vous suivez?) qui parle anglais avec ce "so charming" accent auvergnat.
Pour finir: en anglais la chaîne s'appelle litéralement France24. Je veux dire: pas France TwentyFour. Non: France Vingt Quatre. D'où le regard perplexe d'une de leur présentatrice qui a un peu buggué la dessus:" welcome on france Twen... heu FrenceTwent... France VingQuat' (ouf!)". Encore une blonde. Une bombe. Mais Blonde. "France24 you FAT COW!!!" Oui: que ce soit en anglais ou en français le réal dans le car régie est de la même école.
Dernière note: z'inquiétez pas: y'a de la pub sur france24. Ben oui, LeLay ne pouvait décemment pas s'arrêter de détendre les cerveaux. "Un vent d'insolence" qui disaient.
Je reviens du ciné où, suite à un bouche à oreille efficace de la part de mon entourage cinéphile, je suis allé voir le dernier Bond en date: Casino Royale. Le film fait dors et déjà parti de mes Bond préférés. Alors comment ils ont fait pour nous faire oublier Sean (Connery) et Pierce (Brosnan)? Tout simplement en revenant aux racines même du mythe Bond. Mais pas le Bond de cinéma, celui du roman. Un Bond brut de pomme, un tueur, un rustaud à qui vaut mieux pas lui raconter de bobards sinon c'est coquards! Les producteurs se sont sans doute dit: quitte à revenir aux sources et bien commençons par le commencement et adaptons le premier de la série: Casino Royale. Royale: non Hollande n'y est pour rien. Encore que miss Poitou-Charente pourrait soutenir le parallèle: n'a-t'elle pas réussit à éliminer tous ses prétendants et prédécesseurs sans état d'âme? Mais nous nous égarons...
Revenons à nos moutons: Casino Royale n'est pas la première adaptation du roman éponyme. La chaîne de télé U.S. CBS fut la première à en acquérir les droits et en fit un téléfilm en 1954. Puis un certains Feldman produisit ensuite une autre adaptation, cette fois pour le grand écran, en 1967. Feldman n'ayant pas de relations avec notamment Broccoli, le producteur historique de la série au cinéma, il produisit sa petite adaptation tout seul. James Bond fut alors interprété par David Niven. Le film est tellement déroutant que l'on a souvent cru que c'était une parodie.
C'était pour le fond historique. 2004 (je crois) la Broccoli production décide de changer de Bond. Pourtant Pierce Brosnan était pour beaucoup LE Bond. D'ailleurs le dernier en date avait rapporté un record historique en terme d'entrées... et donc de pépètes. Mais sans doute le Pierce avait demandé une méga augmentation ou bien trop de tickets repas, toujours est-il qu'on la remercié: "la sortie c'est la petite porte sur la droite, et laissez les clés de l'Aston Martin au portier." Et donc il fallait un nouveau Bond. Et on nous sort Daniel Craig. J'avoue avoir fait parti des dubitatifs: comment cet espèce de roc body-buildé allait pouvoir remplacer la classe d'un Connery, le ridicule d'un Moore, la noirceur d'un Dalton et le Bond absolu qu'était Brosnan. Et bien, au vu du film: ils ont carrément fait le bon choix. Le film est une bombe. Ca sent la testostérone dès le début du film, en particulier la séquence d'ouverture qui m'a bien fait transpirer des mains: je déteste le vide, et là j'ai été servi.
Le film de Martin Campbell, déjà auteur de l'introduction de Brosnan dans Golden Eye, est un hommage au genre. Donc pas une redite: non, on sent qu'ils ont voulu le renouveler, jouer avec, sans clin d'oeil lourdeau. Très peu de gadgets, un zeste d'humour. Pour le reste: on dirait une pub pour Mennen puissance XXL. Un condensé de Men's Health. Bond est un mec, un mââââle, gonflé à la créatine, entouré de poupées qui pousse le bandomètre à mille tours minute, conduit des grosses caisses, supporte qu'on lui tape dans les couilles (je vous jure!), aime la fringue, ne crache pas sur la dernière Oméga et sait très bien comment se servir de son (très présent) VIAO Core 2 Duo WIFi. Bref: les rugbymens du Stade Français peuvent continuer à se passer la savonette sous les douches, Bond est là pour assurer la relève... Là où, dans les derniers Bond, les girls (Michelle Yeho et Halle Berry en tête) pouvaient aussi rentrer dans la mêlée et te coller au mur, dans Casino Royale Eva Green sait tout juste porter une valise et Caterina Murino se contente de se vautrer dans un hamac. Bref: on remet les choses en place: il y a d'un côté les femmes à robes de cocktail et de l'autre les hommes aux rasoirs 4 lames.
Mais le film ne fait paradoxalement pas seulement dans l'explosion d'immeubles ou la castagne à tout va. On assiste pendant 1/3 du film à une séquence de Poker aussi tendue que toutes les explosions du film.
Du grand art. Bon attention: du grand art DANS LE GENRE. Ca reste un Bond. Le monsieur il tombe de 50 mètres sans foulure là où on aurait été hospitalisé pour trois mois, coulé directement dans le plâtre. Mais on s'en fout: c'est James.
Alors allez-y.
En cadeau Bonux: le clip de la chanson titre ci dessous. Enjoy!
Note musicale pour cette fois. Mais avant cela, petit rappel: Wii-5.
Sinon, dans un post précédent j'avais dit que je parlerai du troisième sexe: à savoir ceux qui ni n'apprécient les Beatles, ni ne se soucient des Stones, à savoir les Bowiens. Les Bowiens sont adeptes de la secte de David Bowie. Cette secte a une règle très simple: on ne critique pas Dieu. Et Dieu pour eux, c'est le monsieur qui fait de la pub pour Vittel. Buvez, Eliminez. Certains philosophent sur la dialectique, et bien les Bowiens cogitent sur la duérétique! (tant que c'est pas la diarhétique me direz-vous...)
Pour les incultes: David Bowie est "né" en 1969 en se débaptisant de son vrai nom: David Jones. Le nom Bowie vient d'un héros de fort Alamo qui avait un couteau nommé Bowie knife. Quant au prénom David il vient du nom de la tortue de Floride de son voisin et qui avait la particularité de chanter quand on lui carressait sa carapace (bon ok cette dernière info est fausse..). Le monsieur-dame est connu pour avoir les yeux vairons: mais tout comme son identité, c'est du pipeau puisqu'en fait cela lui viendrait d'une bagarre avec un ami (sic) qui a dillatté la pupille. Intéressant tout ça non?
Début de carrière difficile donc il s'invente ce personnage angrogyne qui défraie la chronique. Il pond des perles comme ce Space Oddity, dont même moi je dois reconnaître l'excellence:
Dans les années 80 il se tourne vers le commercial: pub pour Pepsi et album Let's Dance: ça marche : 14 millions d'exemplaires vendus. Pas mal.
Il fera un peu de ciné, la couv' de revues people et aujourd'hui il fait parti des papys du rock: tels Mick Jagger, MacCa ou bien Dick Rivers.
Voilà. J'ai fait mon papier sur Bowie. Vous me direz: l'utilité de ce dernier, aucun. C'est juste parce que à force de cotoyer quelques adeptes de cette secte il est bon de leur rappeler, encore et encore, que Bowie c'est aussi Buvez Eliminez. Non, je ne suis pas de mauvaise foi...
Allez, cadeau, un inédit de Bowie: le "petit gros" dont il se fout c'est Ricky Gervais, le créateur de The Office, et aussi de ce sitcom: Extras.
Voilà pour Bowie.
Maintenant un inédit... même pour moi, mais on m'a fait la promo d'un petit français qui monte: il s'appelle LaBlanche et c'est original. Ne cherchez pas: ça ne passe pas sur RTL et il n'est pas non plus invité sur le plateau de la StarAc'. Allez savoir pourquoi? Son nouvel album s'appelle modestement "Disque D'Or." (merci Amé pour l'info)
N'hésitez pas à me signaler des zinconnus: j'aime bien les échanges d'info comme ça.
Pour finir: spéciale dédicace à miss Flandres qui part se dorer la burka sous couvert (ha ha ha) d'un voyages d'études. Y'avait pas d'universités aux Maldives dis? :)
ps: la secte Bowienne aura beau faire: JE contrôle les commentaires..
Le feuilleton (halletant) des chansons (enfin de mes chansons) de Noyel continue.
Dans la continuité continue de ce blog et pour avoir une cohérence éditoriale irréprochable poursuivons la liste des plus grandes chansons de Noyel.
